Bastion du Rohan (Sur l’établi – juin 2010)
Le bastion du Rohan continue à prendre forme, lentement mais sûrement. Pendant que les briques de céramiques sèchent, se me suis concentré sur les portes de la citadelle. Comme il s’agit de grandes portes, solides, j’ai choisi de les équiper de gonds fonctionnels fabriqués maisons avec des tubes et barreaux plastiques et de la carte plastique. Ils seront ensuite décorés de petites rondelles obtenues dans du carton plume de 3 mm qui doivent représenter les écrous et autres têtes de clous. Les gonds sont ensuite collés à la superglu sur des portes réalisées en balsa de 10 mm d’épaisseur. La photographie suivante permet de voir les portes avant leur mise en peinture.
Bien entendu, je ne délaisse pas la barbacane comme on le voit sur la photographie suivante. Les deux tours sont quasiment terminées. Le sol du dernier étage sera un plancher (réalisé en balsa), j’insère donc pour le soutenir plusieurs poutres dans les briques (on peut apercevoir les ouvertures à gauche de la photographie). Les soldats accéderont au sommet des tours par des échelles amovibles. Pour information, les portes que l’on aperçoit sur les photographies sont en résine et sont obtenues toujours grâce aux moules en silicone Hirstarts®. Le sommet des tours est amovible pour permettre de placer des figurines dans la tour elle-même.
Enfin, les briques de la courtine sont percées pour accueillir les poutres de soutènement des hourds qui décoreront cette dernière. Les hourds permettront aux archers de tirer directement sur les assaillants au pied de la porte tout en étant protégé (sur la photographie, Erkenbrand teste le nouveau plancher de la tour ouest).
Si vous êtes sages, je mettrai prochainement une photographie d’ensemble avant peinture. A suivre…
Voilà qui commence à avoir belle allure.
Comme je suis très très sage (c’est ma femme qui le dit) je suis impatient de voir la photo d’ensemble.
De mon côté, je suis un peu fainéant en ce moment … mais comme je ne pars pas en vacances cette année, peut être aurais-je le courage de peindre une ou deux figs